Société Genevoise pour la Protection des Animaux

Fondée en 1868, la SPA Genève est une association d’utilité publique ne recevant aucun subside de l’État. Elle est composée d’un comité de bénévoles et de 13 employés collaborateurs. Aujourd’hui, plus de 9000 membres participent à soutenir son action par le biais des cotisations, des dons et des legs.

SPA Genève

ENQUÊTES

Pour le bien-être et la protection des animaux, la SPA Genève effectue deux types d’enquête :

・Les visites post-placement

・Les enquêtes suite à une dénonciation

 

Visites post-placement

Elles ont pour objectifs de savoir si l’animal placé est traité correctement par son nouveau maître et si son cadre de vie est satisfaisant. Ces visiites sont effectuées par des bénévoles qui se rendent sur les lieux soit par surprise soit en avertissant peu avant. Il est cependant plus courant de prévenir avant car les bénévoles et le nouveau maître ont généralement une profession et doivent donc respecter leurs emplois du temps respectifs. Le bénévole et le nouveau maître ont alors un entretien de quelques minutes durant lequel ils remplissent un formulaire, puis notre bénévole posera quelques questions, par exemple, l’accès à la couche du chien/chat. Ces visites sont très souvent un plaisir pour nos bénévoles ainsi que pour les adoptants qui sont heureux de pouvoir montrer la grande affection qu’ils ont pour leur nouvel animal.

Enquêtes suite à une dénonciation

Effectuées par notre Directeur M. Miloud Krammala qui se rend sur place sans prévenir de sa visite, ces enquêtes ont pour objectif de vérifier si un animal est victime ou non de mauvais traitements.

 

Lorsqu’il y a réellement un problème, plusieurs solutions sont envisagées :

 

Le dialogue

Le maître n’est parfois pas au courant de lois qui ont pu changer dernièrement comme, par exemple, l’interdiction d’enfermer un animal dans une cage de transport lorsque l’on quitte son domicile.

 

L’abandon

Si le propriétaire refuse de traiter correctement son animal, il lui est proposé de nous confier l’animal afin qu’il puisse trouver un nouveau maître qui sera plus aimant.

 

L’appel au SCAV et/ou aux autorités

Dans de rares cas, si un animal est indéniablement maltraité et que le dialogue est impossible, le SCAV peut ordonner un séquestre et/ou la police peut intervenir.